DEI pour qui ?

AVERTISSEMENTS :

1-je tenterai de brasser des idées et des paradigmes. Ça pourrait choquer et irriter quelques personnes.
Si les premières lignes vous choquent , pleeease…ne continuez pas la lecture et restons bons amis.
Si vous ne vous attendez à rien d’autre de ma part, je serai curieux de li

2-j’utilise le masculin pour simplifier l’écriture et la lecture de mes textes.re vos commentaires!

3- Cet article est très long (and I mean looping! 4259 mots, ou 25 minutes à 200 mots/min!)… vous y trouverez le texte original ainsi qu’une version édulcorée par une IA et finalement une réflexion sur ce que les IA peuvent faire pour nous. Mais . Hye, vous pouvez simplement me faire confiance , comme d’habitude, et arrêter la lecture après le texte original. ET sauter à la confusion ensuite!

On y va!

 


Diversité
Équité
Inclusion

On en parle beaucoup depuis quelques années. Avec raison ! On remarque une forte immigration dans tous les pays non en guerre (il y a trop de ces derniers !). Les pays « accueillants » , de leur côté, se posent des questions sur le nombre « acceptable » d’émigrants qu’ils peuvent accueillir. Oui… Ils émigrent de leur pays pour diverses causes, la plupart plutôt désagréables et légitimes, et deviennent des immigrants en arrivant chez nous. Ou chez vous. OU chez les autres parce que nous en avons assez !
Assez ?
Les pays hôtes peinent à accueillir convenablement toutes ces personnes dans le besoin. Les coûts d’accueil sont énormes  et les conséquences de renvoyer chez eux les immigrants sont humainement inacceptables.

Oh, oui… ces gens viennent travailler et remplacent nos citoyens dans les emplois de bases qui sont dénigrés par nos locaux.

Oh, oui, ces nouveaux arrivants (on aime ne pas dire les choses telles qu’elles sont… des immigrants !) vont payer des impôts.

Mais oh, ils vont également profiter de nos prestations sociales, occuper des logements de plus en plus difficiles à trouver et avoir beaucoup d’enfants, alors que les pays « riches » ne font plus assez d’enfants pour assurer la pérennité de leur race.

Et oh…ces immigrants ne sont plus de la même couleur que les Québécois de souche ! (Références aux efforts surhumains des premiers colons qui ont abattu les arbres des terrains et enlevé à la sueur de leur front les souches profondes qui restaient ??)

Ils ont des valeurs et une culture différentes des nôtres.

Et ils pratiquent souvent ouvertement leur religion, cette Religion que nous avons évacuée, chassée et retirée de notre quotidien depuis plus de 60 ans.

BREF… on aime « accueillir » les gens dans le besoin, on aime « aider » ces réfugiés politiques, de guerre, climatique, etc., jusqu’à ce que…

  • Leurs habitudes nous dérangent
  • Leurs valeurs nous irritent
  • Leurs pratiques religieuses nous heurtent
  • Bref…tout ce qui est différent chez eux nous porte à les repousser, à les stigmatiser, à les garder loin de nous et à nous renfermer dans une crise identitaire malsaine.

Les Québécois se cherchent encore une identité. Ils se sentent encore menacés par l’Envahisseur. La défaite des plaines d’Abraham a été mal expliquée et le règne des Anglais (les maudits Anglais) jusqu’à la Révolution tranquille est encore vécu comme une oppression qui fait voir l’immigration actuelle comme une menace contre notre identité. (Vous ressentez la controverse à peine voilée? Oui, les Anglais ont “sauvé” la Nouvelle France de la disparition due à la négligence de sa colonie par la France.) En même temps, nous peinons à nous affirmer de manière forte, mais sensible.= Les discours politiques et publics se tournent rapidement vers les commissions d’enquête et les lois spéciales au lieu d’entamer un vrai dialogue et de prendre des mesures concrètes pour améliorer la communication et la compréhension.

Les mesures pour favoriser le EDI en sont un bon exemple.

Oui, on veut intégrer les nouveaux arrivants (utilisons le vocabulaire acceptable).

Non, on ne veut pas de quotas ou de mesures de performance trop coercitives… mais…

On finit quand même par des quotas, des bonus de performance si on les atteint, et un biais antidiscriminatoire qui favorise, ultimement… la discrimination, les récriminations et les tensions.

Accommodements raisonnables ? Ouf… ça commence toujours par un petit accommodement qui ne dérange personne… et qui prend de l’ampleur jusqu’à en devenir un irritant majeur. Des exemples abondent.

Loi contraignante ? Ouf aussi ! L’abondance de manifestations publiques démontrent le ras-le-bol de la population.

Où réside la solution ?

J’ai récemment vécu l’expérience de « La place du dialogue », une méthode de réflexion qui encourage avec bienveillance l’écoute et le partage de perspectives. Étonnant ! Bien que l’exercice n’ait duré que 90 minutes, on peut facilement imaginer qu’une écoute attentive prolongée puisse ouvrir de nouveaux horizons. Imaginons un dialogue entre plusieurs participants provenant de populations qui ont subi de la discrimination et qui seraient visés par des politiques IDE (oui je varie l’ordre des lettres chaque fois…). Quel serait l’effet d’entendre et d’écouter leurs expériences ? Comment peut-on imaginer ce que les gens ayant subi des discriminations en regard de leurs valeurs profondes pourraient ressentir sans cette écoute bienveillante, approfondie et prolongée ? J’en ai eu un avant-goût et j’ai soudain réalisé que,

moi aussi je me suis déjà senti opprimé !

Oh, pas de cette façon ! Et pas aussi intensément ou pendant aussi longtemps et en continu.

  • Mais oui… à l’école primaire, à l’occasion, parce que je ne portais pas de jeans…
  • Au secondaire parce que je portais des lunettes…
  • Au collégial parce que je posais trop de questions…
  • Pendant la maîtrise dans la métropole parce que mes commentaires naïfs trahissaient
    mon origine de banlieusard…
  • Au comité de direction de l’entreprise où je travaillais parce que mes idées semblaient un peu trop extravagantes pour les directeurs traditionalistes inquiets pour la pérennité de leur bonus annuel.
  • Au conseil d’administrateur d’un OBNL quand je posais des questions trop piquantes sur le bilan financier…

Partout, demandant trop d’Équité…

Partout , EXCLU

Partout, TROP DIFFÉRENT

Et, au risque de me plaindre le ventre plein, le fait d’être un homme blanc de 61 ans n’aide pas du tout… je suis presque un boomer ! Et les boomers n’ont pas la côte depuis quelques années, ni les hommes de 61 ans depuis le #metoo… et les MWGA (make Whatever Great again) de ce monde, quelle que soit la couleur de leur casquette, ont forcé l’association de « blancs » à colonisateurs, impérialistes, racistes, xénophobes et/ou fascistes.
Bref… l’inclusion, l’équité et la diversité… ça touche tout le monde finalement.
Ce n’est pas au même degré, sans la même intensité, et ça ne crée pas la même précarité d’emploi, de position ou de privilège… mais c’est tout de même le cas.
Et ceci est peut-être une piste…
L’exercice de la « place du dialogue » et les expériences de codéveloppement nous permettent de mettre en lumière les différences et d’optimiser la réflexion pour trouver des solutions potentielles, mais surtout pour mieux comprendre les situations.
Quand je dis que les problématiques de DIE (bin oui, DIE comme dans MEURT !) touchent tout le monde à plus ou moins grande intensité, je veux aussi dire que, si tout le monde est concerné, tout le monde devrait être visé par les politiques de DEI. De toute façon les “gens de souches”, quelle que soit leur couleur et race, sont en voie (je parle d’un avenir de 30-50 ans, pas demain!) de devenir minoritaires dans leur pays si les crises climatiques continuent de forcer les évacuations des populations côtières.


Plus de 20 % de la population mondiale vit actuellement à moins de 30 km des côtes , plus de 50 % dans les zones côtières à moins de 100 km du rivage et 60 % dans la grande zone côtière . 3,8 milliards de personnes résident à moins de 150 km du rivage d’après l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature)


Mais, si tout le monde est visé, ça ne devrait plus être dénommé IDE, mais plutôt politique de l’Art de vivre ensemble.
Si tout le monde est traité de la même façon, partout, dans tous les pays, dans toutes les entreprises ou organisations, tout le monde devrait se sentir au même niveau. La population « dominante » ne résisterait peut-être pas autant, les « nouveaux arrivants » ne se sentiraient plus différents…
NON ?
John Rhawls a écrit sur le sujet dans son livre « Théorie de la justice », paru en 1971. Tiré de la page Wikipédia :
« C’est une méthode pour établir la moralité d’un problème qui s’appuie sur l’expérience de pensée consistant à se mettre dans une position originelle et à faire abstraction de ses goûts, ses attributs et sa position dans l’espace social.
En étant derrière ce voile d’ignorance, les individus sont censés prendre des décisions équitables et justes, car ils ne sont influencés ni par des intérêts personnels ni des préjugés favorisant une certaine position sociale ou économique. L’objectif est de parvenir à des principes de justice qui bénéficieront à tous les membres de la société, indépendamment de leur position initiale.
Le voile d’ignorance invite à la réflexion sur les principes de justice qui pourraient notamment garantir une égalité des chances et une protection pour tous les membres de la société.”

L’exercice consiste donc à imaginer des situations, des conditions ou des solutions pouvant régler TOUS les problèmes causés par les préjudices associés aux « nouveaux arrivants », quel que soit le moment de leur arrivée.  Ce point est important si l’on veut combattre le racisme contre les Afrodescendants, les Italiens arrivés au Québec dans les années 1950, les boat people vietnamiens des années 1970, les Haïtiens des années 1960, 1980 et 2010, etc. !). Des solutions et des conditions qui pourraient s’appliquer à nous tous, classe « dominante » traditionnelle incluse ! J’insiste : des conditions qui pourraient s’appliquer à TOUT le monde, dirigeants et politiciens inclus, riches et pauvres inclus, blancs, noirs, bruns , jaunes , rouges inclus!

Si c’est bon pour minou, c’est bon pour pitou !

Finis les quotas
Finis les accommodements « raisonnables »
Finis les lois spéciales
Finies les clauses “grands-pères” et les “red circles”
Finies les exceptions pour les organisations religieuses
Tout le monde paie les mêmes taxes et impôts
Tout le monde respecte les stationnements pour handicapés
Tout le monde pense à des rampes d’accès pour les fauteuils roulants et les personnes âgées
Fini le racisme
Fini l’âgisme ou l’anti-agisme (discrimination contre les jeunes…)

Vive l’Art de vivre ensemble !

Oh boy… mais qu’est-ce que j’ai mangé ce matin pour être aussi naïf?
Une solution comme l’Art de vivre ensemble semble si simple…
Non, c’est une solution complexe.
Sans règles, mais avec un principe simple, celui de vivre ensemble dans le respect, l’interdépendance et la cohabitation, de ce principe émergeraient des solutions nouvelles basées sur cet Art de Vivre Ensemble… des solutions adaptatives qui évoluent plutôt que des lois rigides, inadaptées au moment de les mettre en application, votées par des élus trop loin de la réalité.
Des solutions basées sur le respect et la compréhension de l’autre.
Des idées qui s’appuient sur les besoins réels et contemporains de nos sociétés en transition.

Non, vraiment, j’ai mangé quelque chose de bizarre ce matin…du bacon halal et des graines de chanvre arrosés de macha à la Guiness bénie??

**************************************************************************************************

Et à ce moment , j’ai décidé de demander l’avis de mon collègue… suis-je trop radical? Ai-je le bon ton?
Et c’est à ce moment que je me suis demandé si CLAUDE , un Ai, pouvait faire la même job que mon collègue … j’ai donc demandé à Claude d’améliorer un peu mon texte sans modifier mon style.
Voici le résultat.

VERSION CLAUDE

Voici une version améliorée qui conserve votre style et votre ton personnel :

**Diversité, Équité, Inclusion**

On en parle beaucoup depuis quelques années. Avec raison !

L’immigration massive pose question dans tous les pays non en guerre (il y en a trop de ces pays “en guerre”!). Les pays « accueillants » s’interrogent sur le nombre « acceptable » d’immigrants qu’ils peuvent recevoir.

Oui… ils émigrent pour des raisons souvent légitimes et désagréables, et deviennent des immigrants en arrivant chez nous. Ou chez vous. Ou chez les autres, parce que nous en avons assez !

Assez ?

Les pays hôtes peinent à accueillir convenablement toutes ces personnes dans le besoin. Les coûts sont énormes et renvoyer ces gens chez eux reste humainement inacceptable.

Oh oui, ces gens viennent travailler dans les emplois de base que nos citoyens dénigrent. Oh oui, ils paient des impôts. Mais oh, ils profitent aussi de nos prestations sociales, occupent des logements de plus en plus rares et font beaucoup d’enfants, alors que nous n’en faisons plus assez.

Et oh… ces immigrants n’ont plus la même couleur que les Québécois de souche ! Ils ont des valeurs différentes. Ils pratiquent ouvertement leur religion, cette religion que nous avons évacuée de notre quotidien depuis 60 ans.

**BREF**… on aime « accueillir » les gens dans le besoin, jusqu’à ce que :
– Leurs habitudes nous dérangent
– Leurs valeurs nous irritent
– Leurs pratiques religieuses nous heurtent

Tout ce qui est différent nous pousse à les repousser, à les stigmatiser, et à nous enfermer dans une crise identitaire malsaine.

Les Québécois se cherchent encore une identité. Ils se sentent menacés par l’Envahisseur. La défaite des plaines d’Abraham et le règne des Anglais jusqu’à la Révolution tranquille sont encore vécus comme une oppression qui fait voir l’immigration actuelle comme une menace.

Nous peinons à nous affirmer de manière forte, mais sensible. Les discours politiques se tournent vers les commissions d’enquête et les lois spéciales au lieu d’un vrai dialogue.

Les mesures DEI en sont l’exemple parfait : on ne veut pas de quotas… mais on finit par des quotas, des bonus de performance et un biais antidiscriminatoire qui favorise, ultimement, la discrimination et les tensions.

Accommodements raisonnables ? Ça commence petit et ça devient un irritant majeur.

Lois contraignantes ? Les manifestations publiques démontrent le ras-le-bol d’une population qui ne comprend plus les aspects complexes de la situation.

**Où réside la solution ?**

J’ai récemment vécu « La place du dialogue » (https://placedudialogue.com/) : 90 minutes d’écoute bienveillante qui ouvrent de nouveaux horizons. En écoutant des gens discriminés partager leurs expériences, j’ai réalisé que moi aussi, je me suis déjà senti opprimé !

Pas de la même façon, pas aussi intensément. Mais oui :
– À l’école primaire, parce que je ne portais pas de jeans
– Au secondaire, à cause de mes lunettes
– Au collégial, parce que je posais trop de questions
– Pendant la maîtrise, parce que mes commentaires trahissaient mon origine de banlieusard
– Au comité de direction de mon employeur, parce que mes idées semblaient trop extravagantes
– Au conseil d’administration d’une OSBL, quand je posais des questions trop piquantes

Partout, demandant trop d’équité…
Partout, EXCLU.
Partout, TROP DIFFÉRENT.

Et au risque de me plaindre le ventre plein, être un homme blanc de 61 ans n’aide pas : je suis presque un boomer ! Les boomers n’ont pas la cote, ni les hommes depuis le #metoo. Les MWGA (Make Whatever Great Again) de ce monde ont forcé l’Association de « blancs » à colonisateurs, racistes et fascistes.
La classe dominante qui a peur de disparaitre résiste farouchement à ces mesures IED qui , dans leur grande “sagesse”, sont en voie d’accommoder tout le monde …l’exception de cette classe dominante qui n’aura plus droit de parole.…

**Bref… l’inclusion, l’équité et la diversité touchent tout le monde finalement.**

Pas au même degré, pas avec la même intensité, mais tout de même.

Et si tout le monde est concerné, tout le monde devrait être visé par les politiques DEI. D’ailleurs, avec les crises climatiques qui forcent l’évacuation des populations côtières (3,8 milliards de personnes vivent à moins de 150 km du rivage !), les « gens de souche » deviendront minoritaires dans 30-50 ans.

**Si tout le monde est visé, pourquoi ne pas parler de « l’Art de vivre ensemble » ?**

John Rawls l’a théorisé avec son « voile d’ignorance » : imaginer des règles de justice sans connaître notre position sociale future. Des décisions équitables, parce que non influencées par nos intérêts personnels.

L’exercice consiste à imaginer des solutions applicables à TOUS : nouveaux arrivants ET classe dominante, dirigeants ET citoyens, riches ET pauvres, toutes origines confondues.

**Si c’est bon pour minou, c’est bon pour pitou !**

Finis les quotas
Finis les accommodements « raisonnables »
Finies les lois spéciales
Finies les clauses « grands-pères »
Finies les exceptions pour les organisations religieuses

Tout le monde paie les mêmes taxes
Tout le monde respecte les stationnements pour handicapés
Tout le monde pense aux rampes d’accès
Fini le racisme
Fini l’âgisme

**Vive l’Art de vivre ensemble !**

Oh boy… qu’est-ce que j’ai mangé ce matin pour être aussi naïf ?

Une solution comme l’Art de vivre ensemble semble si simple… Non, c’est une solution **complexe**.

Sans règles rigides, mais avec un principe simple : vivre ensemble dans le respect, l’interdépendance et la cohabitation. De ce principe émergeraient des solutions adaptatives qui évoluent, plutôt que des lois inadaptées votées par des élus trop loin de la réalité.

Des solutions basées sur le respect et la compréhension de l’autre.
Des idées ancrées dans les besoins réels de nos sociétés en transition.

Non, vraiment, j’ai mangé quelque chose de bizarre ce matin… du bacon halal et des graines de chanvre arrosés de macha à la Guinness bénie ??

**Améliorations apportées :**
– Structure plus fluide sans perdre votre rythme
– Conservation de vos jeux de mots et apartés
– Mise en relief des passages clés avec typographie
– Simplification des phrases longues tout en gardant votre voix
– Maintien de votre ton ironique et autocritique
Meilleure progression logique sans rigidité

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J’ai quand même envoyé mon texte au collègue, Martin Ducharme, un expert en image de marque. Martin est génial ! Un expert en « clarté ». Il vous remet sur le droit chemin en moins de deux. À découvrir ! https://www.nyevobranding.com/
Martin utilise les IA d’une façon originale et stimulante. Il a aussi utilisé Claude pour avoir un second avis . Mais il n’a pas demandé de récrire le texte ! Il a utilisé Claude pour analyser le texte. L’original et celui que Claude lui-même avait réécrit !
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Analyse du texte original


Voici une analyse claire, honnête et structurée du texte de ton client.
(Je me base sur la version originale du document que tu as fourni.)

1. Est-ce clair?

Partiellement.

Le texte a une intention forte, un style assumé, et une volonté réelle de provoquer une réflexion profonde.
Mais il souffre de longueur, de digressions nombreuses, et d’une structure narrative instable qui affaiblit la thèse centrale.

On sent ce qu’il veut dire, mais il faut suivre un long parcours pour y arriver.
Un lecteur moyen décroche bien avant le point.

2. Qu’est-ce que je comprends?

Voici la compréhension globale :
Il veut parler de DEI (diversité, équité, inclusion) mais en renversant les perspectives.
Il dénonce les contradictions, les maladresses, les tensions et les incompréhensions autour de l’immigration et des politiques d’inclusion.
Il montre que tout le monde, à divers degrés, peut vivre l’exclusion—y compris lui-même.
Il introduit l’idée que le véritable défi n’est pas la DEI elle-même, mais l’absence de dialogue authentique.
Il propose finalement un concept rassembleur :
remplacer le DEI par un “Art de vivre ensemble”, appliqué à tous.

3. Résume-le en une seule phrase

La diversité et l’inclusion ne devraient pas être des politiques pour “certains”, mais un principe universel fondé sur le dialogue, l’écoute et l’art de vivre ensemble.

4. Forces

✔ Ton authentique, assumé, humain

Il se met en jeu personnellement, ce qui rend le propos plus incarné.

✔ Courage de s’attaquer à un sujet sensible

Il aborde des angles controversés que peu osent toucher.

✔ Moments de lucidité et d’introspection qui ouvrent la réflexion

L’histoire de « La place du dialogue » est un point d’ancrage très puissant.

✔ Une idée finale forte : remplacer DEI par l’Art de vivre ensemble

C’est un hook conceptuel intéressant pour un futur modèle, conférence ou publication.

5. Faiblesses

✘ Trop long, trop digressif

Les exemples, apartés, parenthèses et retours en arrière diluent le message.

✘ Confusion dans l’angle

Par moments, le texte :
dénonce l’immigration,
critique les politiques DEI,
parle d’histoire du Québec,
raconte son parcours personnel,
propose un modèle universel.

Le lecteur ne sait plus sur quel rail se positionner.

✘ Risque de malentendus ou de réactions émotionnelles fortes

Le ton ironique, les formulations provoquantes, les jeux sur les mots (DIE = die) peuvent être mal perçus selon l’audience.

✘ L’absence d’un fil conducteur clair

Il manque un « problème → conséquence → solution » bien structuré.

✘ Certaines affirmations pourraient être interprétées comme stéréotypées ou généralisantes

Ce n’est probablement pas son intention, mais dans un texte sur la DEI, la sensibilité du sujet exige une précision chirurgicale.

6. Note sur 10 + justification

🟠 6 / 10

Pourquoi :
L’idée est forte (8/10)
La pertinence du thème est élevée (9/10)
L’exécution, elle, manque de rigueur (5/10)
Le risque de mauvaise réception est élevé (5/10)
La structure nuit à la lisibilité et à la force persuasive (4/10)

Avec une réécriture structurée et un cadrage conceptuel clair, ce texte pourrait atteindre un 8.5 ou 9/10 facilement.

Si tu veux, je peux maintenant :
Restructurer le texte pour qu’il soit clair, percutant et professionnel
Créer une version courte (LinkedIn, site web, conférence)
Créer une version “soft” pour réduire les irritants potentiels
Créer une version éditoriale (journal, magazine, conférence TED)
Définir le modèle “Art de vivre ensemble” comme concept distinct

Dis-moi ce que tu veux faire ensuite.
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Voici une analyse précise et sans détour du texte révisé.
Je me base sur ce que tu m’as fourni :

1. Est-ce clair?

Plus clair que la version précédente, mais encore imparfait.

La structure est davantage linéaire. Le discours avance mieux :
Constat →
Tensions →
Problème des modèles DEI →
Expérience personnelle →
Proposition (« Art de vivre ensemble »)

Toutefois, la clarté est encore diminuée par :
plusieurs digressions
quelques passages ironiques ou anecdotiques trop longs
un mélange d’émotion, d’opinion, d’analyse et d’humour qui brouille la cohérence

On comprend l’intention, mais l’argumentation gagnerait à être resserrée.

2. Qu’est-ce que je comprends?

En simplifiant :
Il critique la manière dont les politiques DEI sont appliquées et perçues.
Il montre que l’exclusion n’est pas l’affaire d’un seul groupe : tout le monde peut se sentir exclu, rejeté ou différent à un moment ou un autre.
Il raconte son propre vécu pour illustrer ce point.
Il remet en question les réactions politiques, sociales et identitaires face à l’immigration.
Il soulève l’idée que les tensions actuelles viennent d’un manque de dialogue réel.
Il propose un concept plus universel :
remplacer les politiques DEI par un “Art de vivre ensemble”, applicable à tous sans exception.

3. Résumé en une seule phrase

L’inclusion véritable ne passera jamais par des quotas ou des lois, mais par un art de vivre ensemble fondé sur le dialogue, l’écoute et des règles qui s’appliquent à tous.

4. Forces

✔ Structure plus fluide

Comparé à la version précédente, la progression est plus naturelle et le lecteur se perd moins.

✔ Une idée centrale forte

L’expression « Art de vivre ensemble » est un excellent pivot conceptuel.

✔ Une voix authentique et assumée

Le texte a un ton unique, incarné, presque narratif.

✔ Le recours à une expérience personnelle

La section sur « La place du dialogue » donne un angle humain puissant et crédible.

✔ Une volonté d’ouvrir une réflexion

Le texte veut créer un espace pour la nuance plutôt que prendre une posture dogmatique.

5. Faiblesses

✘ Le ton reste parfois trop chargé pour un lecteur sensible

Le sujet DEI est inflammable.
Certaines formulations peuvent être perçues comme provocatrices ou ambiguës, même si l’intention n’est pas hostile.

✘ Encore trop d’exemples, de parenthèses et de phrases “side quest”

Ça casse la force du message.
Certains apartés (bacon halal, Guinness bénie, etc.) diminuent la crédibilité perçue.

✘ Mélange entre analyse sociale, opinion politique, anecdotes personnelles

Le lecteur peut se demander :
Où veux-tu m’amener exactement?

✘ L’argumentation finale manque encore d’envergure pour convaincre

L’idée est puissante, mais elle mérite une démonstration plus structurée pour vivre pleinement.

6. Note sur 10 + justification

🟠 7 / 10

Pourquoi pas plus?
Clarté améliorée, mais encore hétérogène.
Angle intéressant, mais pas encore “tranché” ou suffisamment articulé pour être publié tel quel dans un cadre professionnel sensible.
Voix personnelle riche, mais parfois trop personnelle pour soutenir un argument général.
Intention puissante, mais la forme dilue encore l’impact.

Pourquoi pas moins?
L’idée « Art de vivre ensemble » est réellement porteuse.
Le texte a un vrai potentiel éditorial avec une direction claire.
Les thèmes sont maîtrisés et les contradictions bien exposées.
La version révisée est déjà un net progrès.

Si tu veux, je peux maintenant faire l’un des trois :

1. Version “éditoriale professionnelle”

Courte, structurée, forte — pour un journal, un article, ou une conférence.

2. Version “humanisée et nuancée”

Pour éviter les zones sensibles et renforcer l’adhésion.

3. Version “percutante et stratégique”

Plus simple, plus claire, plus directe, orientée impact.

Dis-moi laquelle tu veux — ou si tu veux une fusion des trois.

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CONCLUSION !

Donc… Claude a légèrement amélioré le texte. Sa tentative de récrire a fait passer mon article de 6/10 à 7/10. En relisant mon texte révisé, je me sentais un peu en manque de détails. Oui, plus clair. Oui, plus bref, mais… moins « Francois ».
Je suis plutôt fier de mon style éclaté et « all over the place ». Mon cerveau fonctionne ainsi que je m’efforce d’être authentique dans mes communications. On aime ou non. Après plus de 650 articles depuis 2005 (ça fait beaucoup de mots !), je peux toujours améliorer mon style, mais…
À la lecture des analyses, j’ai décidé de laisser mon texte tel quel.
Oui, ça peut provoquer, voire choquer.
Oui, ça peut manquer de cohérence.
Mais est-ce que je juge Tolkien quand il ajoute 3 pages de chansons dans le Seigneur des Anneaux ? OUI ! Est-ce que ça m’empêche de comprendre et d’apprécier l’histoire ? NON !
Alors je vous laisse juger de tout cela,
Mais je serai curieux de lire vos commentaires et de savoir comment vous envisagez l’avenir avec des IA qui écrivent à votre place, qui écrivent les romans et articles de journaux… et qui assainissent votre verbe et celui de vos auteurs favoris… qui enlèvent leurs défauts et leurs idiosyncrasies et les surprises que vous prenez tant de plaisir à lire ?
On m’a un jour reproché de faire des erreurs typographiques, trop de typos. J’ai alors rétorqué en citant Seth Godin (2011):

« On peut être parfait… ou intéressant. »

 


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