Et si vous appreniez qu’il vous en reste moins que prévu ?
Que feriez-vous avec le temps qu’il vous reste ?
Des voyages ?
Écrire ce livre qui vous obsède depuis si longtemps ?
ou votre biographie ?
Lire un livre
Revoir toutes les personnes qui vous sont chères ?
Prendre le temps de boire un café plus tranquillement ?
Travailler plus ?
Bien que cette question soit très « cliché », elle n’en demeure pas moins valide.
Mais sous cette question banale réside la VRAIE question :
Pourquoi ne l’avez-vous pas déjà fait ?
Qu’est-ce qui vous empêche de faire ce que votre cœur désire ?
Quels paradigmes ou idées préconçues vous empêchent d’atteindre votre objectif ?
Une personne en fin de vie me disait récemment que la fin n’était pas comme elle l’avait envisagée.
Quelle fin imaginez-vous pour vous ?
Faites-vous TOUT ce qu’il est possible de faire pour y arriver, comme vous l’imaginez ?
Ou attendez-vous, reportez-vous au lendemain ce qui pourrait vous faire avancer aujourd’hui ?
Et profitez-vous du moment présent ? Ou êtes-vous sans cesse en attente du moment suivant ?
Le futur n’existe pas. Le passé ne peut être changé. Le présent est tout ce qu’il vous reste.
Le présent est votre seule porte de sortie !!
Le passé se revit en pensée.
Le futur s’imagine, mais ne demeure qu’un rêve… à moins de le créer… dans le présent.
Le présent se crée à chaque instant.
Faites-vous des choix pour créer votre futur ?
Ou attendez-vous qu’il se conçoive de lui-même ?
Que pouvez-vous faire autrement pour avoir des résultats différents ?
Aujourd’hui….
Mon ami Albert disait :
«Faire les mêmes choses de la même façon et s’attendre à des résultats différents s’appelle la folie.»
Il disait aussi que les problèmes d’aujourd’hui ne pourront être réglés si on persiste à y penser avec la même perspective qu’au moment où nous les avons créés.
Quelles situations vous empêchent d’avancer et de réaliser la vie que vous avez imaginée ?
Comment pouvez-vous y penser avec un autre angle, une autre perspective ?
Des outils existent pour vous aider…. :
Les Stratégies Obliques de Brian Eno
ou les Créatons de …moi.
Des gens existent pour vous aider… les coachs de vie, les amis, les groupes de MasterMind, les associations ou groupes d’entraide.
Mais ultimement, deux choses reviennent brutalement dans votre cour :
1- Votre mission de vie
2- Votre plan d’action pour le réaliser
Quand les deux choses sont bien présentes dans votre esprit, la vie se simplifie.
Earl Nightingale ne disait-il pas que le succès n’est que la poursuite continue d’un noble objectif ?
Il vous faut donc un objectif de vie, une mission
et des actions en continu pour l’atteindre.
Seulement lorsque ces deux conditions seront remplies pourrez-vous constater avec satisfaction cette grande absence lors de votre réflexion finale :
Le regret.
Matériel sous copyright © Aliter Concept 2015. S’il-vous-plaît ne pas imprimer ou copier sans la permission de l’auteur.
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La valeur du temps Avez-vous déjà réfléchi à la valeur de votre temps…et du temps des autres?…
« Allez OUSTE le regret… tu n’as pas ta place sur mon perron!! Non… ne me regarde pas avec ce petit regard triste. Je n’ai aucun remord à te laisser pour contre»…
Tu tombes à point cher Francois. Ton texte rejoint exactement le type de réflexions qui m’habitent en ce moment. Attention: si j’écris dans ce commentaire tout ce qui me fait réagir dans ce « post » ça risque d’être long….
Mais je vais me contenter de ceci: c’est presqu’un parcours de vie en soit que de faire, déterminer, préciser, établir sa mission. La réfléchir, se l’approprier, l’ajuster selon nos valeurs, désirs, possibilités, etc. C’est un beau et grand projet qui occupe nos pensées et qui nous fait un petit « pop » dans la tête à l’occasion et qui, à d’autre moment nous obsède et nous indique la route à prendre pour atteindre le prochain objectif ou nous remettre sur la route de nos aspirations profondes.
Si tout se termine demain: je veux serrer mon fils dans mes bras et lui dire de foncer avec son coeur sans attendre. Dire merci à mes parents pour le bagage qu’ils m’ont donné et distribuer des sourires à tous les gens qui croiseront ma route d’ici là! Mon bilan est donc positif car tout ça, je le fait au quotidien!!!
Merci Francois. Je vais aller voir les outils proposés avec intérêt!
Merci François,
Voici des notes sur un sujet assez similaire…
Le top 5 des regrets des personnes mourantes
Une infirmière australienne en soins palliatifs a consigné dans un
livre les 5 regrets les plus récurrents formulés par ses patients en
fin de vie. Bronnie Ware accompagne depuis de nombreuses années les
malades en fin de vie. En travaillant, elle s’est rendue compte que
les patients exprimaient souvent les mêmes regrets alors qu’ils
approchaient de la fin. Elle en a tiré de sages enseignements
qu’elle a consignés dans un livre intitulé « Le top 5 des regrets
des personnes mourantes ».
N°1 : J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je
l’entendais, et non la vie que les autres voulaient pour moi
C’était le regret le plus courant. Quand les gens réalisent que
leur vie est presque finie, ils portent un regard clairvoyant sur leur
passé, et ils voient alors combien de rêves ils n’ont finalement
pas réalisé. La plupart des gens n’ont pas accompli la moitié de
leurs rêves, et sont morts en sachant que cela était dû aux choix
qu’ils avaient fait ou non. La santé est une liberté dont bien peu
de gens ont conscience jusqu’à ce qu’ils n’en disposent plus
».
N°2 : J’aurais aimé ne pas m’acharner autant dans le travail
Ce souhait a émané de tous les patients masculins que j’ai
soignés. Ils regrettent de ne pas avoir étés plus là durant la
jeunesse de leurs enfants ou auprès de leur conjoint. Les femmes
évoquent aussi ce regret, mais pour une bonne partie de la vieille
génération, beaucoup de mes patientes étaient encore à la maison
».
N°3 : J’aurais aimé avoir le courage de dire mes sentiments
Beaucoup de gens taisent leurs sentiments afin d’éviter le conflit
avec les autres. En résulte qu’ils s’installent dans une
existence médiocre et ne deviennent jamais ce qu’ils auraient pu
être. A cause de cela, beaucoup d’entre eux développent des
maladies liées à leur amertume et leurs ressentiments. »
N°4 : J’aurais aimé rester en contact avec mes amis
Souvent, les patients ne réalisent pas tout ce que peuvent leur
apporter leurs vieux amis jusqu’aux dernières semaines de leur
existence. Quand ils s’en rendent compte, il est souvent trop tard
pour retrouver leur trace. Souvent, certains sont tellement pris par
leur propre existence qu’ils ont laissé filer de précieux amis au
fil des années. Beaucoup regrettent de ne pas avoir donné à leurs
amis le temps qu’ils méritaient ».
N°5 : J’aurais aimé m’autoriser à être plus heureux
C’est un regret étrangement récurrent. Beaucoup ne se sont pas
rendus compte durant leur vie que la joie est un choix. Ils sont
restés rivés à leur comportement habituel et leurs habitudes. Ce
que l’on appelle « le confort » de la familiarité a éteint leurs
émotions et leur vie physique. La peur du changement leur a fait
prétendre qu’ils étaient heureux ainsi, alors qu’au fond, ils
rêveraient de pouvoir encore rire ou faire des bêtises dans leurs
vies».
Luc Thibault